mardi 4 août 2020

Juste un été (Denbora t1) de Rose Kalaka



  • Résumé : Sa planche de surf.
    Des regrets à la pelle.
    Une jeune sœur et sa bande.
    Une amie trop longtemps laissée de côté.
    Un bel inconnu à observer sur la plage…

    Voilà un aperçu de la vie d’Anaé en ce début de mois de juin, alors qu’elle vient de poser définitivement ses valises au Pays basque, sa région natale.

    Et si le destin mettait seulement un peu de temps à dévoiler son jeu ?

    Et si l’inconnu ne l’était pas tant que ça et qu’ils s’autorisaient le droit de prendre la vague ensemble ?

    Juste un été.
  • Déjà disponible en numérique et broché
  • Où le trouver : Juste un été

Merci à l'auteur pour ce service presse.

Un petit tour dans le Sud Ouest et ses spots de surf le temps d'une lecture en compagnie d'une romance, voilà de quoi passer un joli moment.

Anaé revient vivre dans cette région qu'elle a vu grandir après avoir tout quitté par amour.
Aujourd'hui elle a perdu bien plus que l'homme de sa vie, c'est tout qui est parti en fumée et tel un phoenix elle va devoir renaître de ses cendres.

Anaé à 33 ans, la vie devant elle et pourtant elle porte le poids de ses erreurs tel un fardeau. Alors qu'elle tente de renouer le lien avec ses proches sa culpabilité ne la lache pas.
Clarence sa petite soeur et Ellory sa meilleure amie vont vraiment tout faire pour l'aider.
C'est une femme forte qui a perdu le fil de sa vie et qui ne sait plus comment avancer.
On la voit renaitre mais trop souvent douter.

Jonathan est un solitaire et pourtant près d 'Anaé c'est un nouvel homme. J'aurais aimé qu'il est son "droit à la parole" pour voir comment lui ressent les choses, cette connexion entre eux.

Les héros sont touchants, Anaé à un passé compliqué et ses doutes nous touchent forcément.

L'auteur évoque des sujets encore trop souvent tabou en 2020 avec émotion.

J'ai passé un très joli moment de lecture, j'ai hâte de retrouver les personnages secondaires dans leur propre histoire.

Une lecture d'été qui sent bon les vacances, car on s'imagine sans peine être sur la plage à les voir surfer.

4/5




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