Il arrive dès demain dans vos liseuses, mais Kal de "Bad trip en AlakaL" nous à fais l'honneur de répondre à nos questions :)
Pour en savoir plus sur "l'Ours",c'est par ici !
1. Peux-tu te présenter ?
OK… Kal, guide et pilote en Alaska, vis dans une cabane au milieu des bois et face à un lac, aime la solitude et le whisky, la chasse et la pêche, tolère seulement (modérément) la présence de Carolyn, ma mère, mon pote Peter et celle de mon chien Othello.
C’est bon ou faut aussi que je pisse dans un flacon ?
2. Quel est ton pire défaut ?
Un certain penchant pour l’alcool peut-être... Certains diront que je suis sauvage et solitaire, mais tout ce que je demande, c’est qu’on me foute la paix. Moi, j’aspire seulement à vivre en toute simplicité dans mes montagnes.
3. Quelle est ta plus grande qualité ?
La fidélité. Et au fond, je ne suis pas quelqu’un de méchant.
4. Quel est ton plus grand rêve ?
Je n’ai pas de rêve. Je me contente de ce que j’ai. Le reste, si je ne l’ai pas, c’est que je n’en ai pas besoin.
5. Quel est le meilleur moyen pour une femme de te garder dans sa vie ?
Qu’elle soit à l’image de mon Alaska : sans artifice et authentique. Et qu’elle ne tente surtout pas de me priver de ma liberté.
6. Crois-tu au grand amour ?
Inconditionnellement. Je suis un bourru, j’ai souffert, mais je sais ce que c’est que d’aimer.
7. Qu’est-ce que tu peux nous révéler sur toi que personne ne sait ?
Je porte de nombreux tatouages. Chacun est là pour me rappeler ce que j’ai fait. Comme si j’en avais besoin…
8. Qu’est-ce que tu as en plus par rapport à tes potes des autres romans de ta créatrice ?
De plus ? J’en sais foutrement rien. À mon avis, j’ai pas mal de choses en commun avec chacun d’entre eux. Je ne suis pas un vrai connard, je porte le poids de mon passé et cherche probablement le pardon, je peux être un p’tit con arrogant, et je suis un gars qui se contente de ce qu’il a, attaché à ses valeurs.
9. As-tu un conseil à donner à tes futures lectrices avant leur lecture ?
Qu’elles ne
blaguassent pas trop, qu’elles marchent sans rechigner et ne posent
pas trop de questions. Si la neige et la vie sauvage les effraient,
qu’elles restent chez elles. Ah, une dernière chose ! Quand
on a un ours en face de soi, on ne part jamais en courant et on
essaie de gueuler plus fort que lui
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